[Odina] L'arrivée d'un Toa du feu

J'étais libre. Libre de tout, libre de moi. Je volais. Volais au dessus des arbres, tel un rahi. Je me sentais aussi lourd que l'air, je me sentais étrangement fusionné avec lui. Mais en mon fort intérieur, je sentais mon tempérament de feu, je sentais l'air et le feu se disputé mon corps et mon esprit, comme deux rahis se battre pour une vieille carcasse. Et, bien dissimulé sous les deux, j'entendais une voix douce comme le bruit des rivières continuant leur chemin et que je connaissais bien, une voix de Toa de l'eau que j'aurais voulu entendre une dernière fois de mon vivant avant que le monde des morts ne s'emparent de moi.
Sarla.
Elle me disait de venir, de venir avec elle et de vivre éternellement au royaume des cieux avec elle, et je lui ai tenu la main je me suis laissais entrainé vers le ciel, et, au plus hautes cimes des cieux, j'ai senti ses lèvres effleurait les miennes...mais je me suis dégagé. Quelque chose me disait que mon destin n'était pas celui-là, et j'ai entendu la voix de Flerzark me faire promettre de servir l'Alliance jusqu'à la mort. Il était mon ami, j'avais juré sur le serment de mort d'honoré la mémoire de mon compagnon et de le vengé en tuant son assassin, un certain Mort. Alors, je suis parti, malgré les paroles suppliantes de Sarla. Je voulais vogué ainsi, pour l'éternité pour traqué Mort et vengé Flerzark...mais à tout moment, tôt ou tard, il faut se réveiler. Lors de mon réveil, mes yeux percutèrent le soleil. Je tourna la tête à gauche. Et je reconnu l'endroit où j'étais.
*La plage de Nidhiki*
Rien que le nom de l'ancien Toa de l'air me rassura et me révolta. Du premier côté, j'étais sur Odina, où se trouve la base des chasseur de l'ombre, enfin, de l'Alliance. Du deuxième coup, là avait été trahi le pauvre Toa, transformé en monstre par Roodaka.
*Que ses cendres rejoignent les enfers*
Je me suis levé. J'ignorais où était la base des chasseurs, car ma rencontre avec Sarla au cieux m'avait sûrement éffacé la mémoire. J'ai commençé à marché en titubant, me laissant guider par mon instint de Toa du feu.

Soudainement, je m'arrêta. Je sentait mon fourreau vite.
*Je n'ai plus d'armes...voilà un problème embarrasant*
Je me téléporta alors sur l'usine d'armes, pour acheté deux lames simples et un katana.